Super Gais, super tristes
Super Gais, super tristes
(Johan Verminnen - Gérald Biesel)
Tu écrases ma vie
Comme une cigarette
A moitié finie
A moitié gachée
Il est déjà minuit
Ni Amour, ni Sommeil
On passe la nuit
A parler
Je déchire notre avenir
Comme une photo ratée
Pas assez de soleil
Visages coupés
Les lueurs du matin
Se mélangent dans ma tête
Avec l’odeur du café
Super Gais, super tristes
Un jour toi, un jour moi
Super égoïstes
Tous les deux à la fois
Et la nuit n’est plus rien
Comme un journal d’hier
Gros titres oubliés
Morceau de papier
Tu caresses ma main
Un sourire se dessine
Dans nos regards
Fatigués